05/11/2009
du 5 au 28 novembre
jeudis-vendredis-samedis
de 11h à 19h
Jean-Jacques Maho
a deux sujets de prédilection, le portrait et le paysage. Avec les paysages, il exprime un monde fait à la fois d’espace, de plénitude mais aussi de turbulences et d’inquiétude.
A travers les portraits, il exprime la douleur du monde, ce qu’il ressent face à l’injustice et le déséquilibre de l’humanité.
Le sujet est plutôt sombre et a pour but d’interpeller le spectateur, de le mettre face à cette part obscure que chacun porte en lui.
De cette matière inerte mais vivante qu’est la terre, Iroy fait apparaître des formes qui s'affirment sans qu'elle essaie jamais de les plier à sa volonté. Ce qui surgit de la matière n’est pas prémédité et se révèle au fur et à mesure au gré des mélanges d’argiles. Ses «sales gueules», comme elle les nomme, ont parfois l’air de rescapées des feux de l’enfer où les hautes températures du four dictent leur loi. Des sphères plus légères, plus aériennes, sont apparues depuis, en suspends...
photos ©Jérôme Kornprobst
photos©Jérôme Kornprobst-Agence K'
12:30 Publié dans 6. vus chez balthazar | Lien permanent
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