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15/10/2014

Dans le cadre de la 9e Triennale Mondiale de l'Estampe

expo, art, photo, Héraud, balthazar, galerie, contemporain, culture, événement, sculpture, paumelle

du 16 octobre au 8 novembre :
Didier Hamey - Muriel Moreau -
Jean-Jacques Maho

ouvert les
jeudis-vendredis-samedis
de 11h à 19h


Le 1er novembre la galerie sera ouverte de 15h à 18h

La triennale de l'estampe est toujours un moment très attendu pour les amateurs de gravure.

Cette année, Balthazar se joint à l'événement organisé par l'Amac et la ville de Chamalières et présente le travail des 3 graveurs qu'elle suit au long cours. Chacun dans leur style, ils révèlent un aspect de la gravure contemporaine et créent des œuvres uniques à partir d'une technique plus généralement dédiée au multiple. Gravure pointe sèche rehaussée à l'aquarelle, eaux-fortes retravaillées à chaque passage sous la presse, monotypes, sont  les procédés  qui caractérisent chacune de ces estampes.


Didier Hamey

Un monde à part et plein d’humour, rempli d’êtres hybrides que les entomologistes n’ont pas encore répertorié, c’est ce que Didier Hamey construit sereinement du bout de sa pointe sèche.
Les signes gravés racontent une vie foisonnante, celle d’une multitude de petits êtres qui fourmillent, s’ébattent, racontent quantité d’histoires. Un monde fragile et plein de poésie qui évoque ce paradis que l’on aurait perdu ! Un monde subtil et plein d’humilité où des êtres microscopiques, à peine conscients d’exister, déploient une formidable énergie dans le seul but de célébrer la vie.
Originaire de Dunkerque, Didier Hamey a fait les Beaux Arts à Paris après une formation en art graphique en Belgique.
 Son travail est exposé dans de nombreuses galeries à Paris et en province et dans les salons spécialisés. Il est actuellement en résidence à la très prestigieuse Casa Velazquez de Madrid.


Jean-Jacques Maho

Qu’il représente les stigmates des déchirements de l’âme ou le déchaînement des éléments extérieurs, on retrouve la même puissance d’expression dans ses estampes. Elle lui vient de la relation très physique qu’il entretient avec son travail depuis qu’il a délaissé burins et pointes sèches pour ne plus pratiquer que le monotype. Cette technique qui consiste à encrer directement la plaque et à travailler en en retirant l’encre lui permet d’intégrer le geste et d’engager son corps tout entier dans l’acte créatif. Le passage sous la presse est alors décisif et ne laisse aucune place au repentir.
Né à Paris, il y a étudié la gravure à l’Union des Arts Décoratifs avant de poursuivre sa formation au CEGRA de Caracas (Venezuela).
Il expose régulièrement dans des galeries à Lille, Marseille et Clermont-Ferrand ainsi que dans des salons spécialisés.

Muriel Moreau

Dans un enchevêtrement de traits finement ciselés ses eaux fortes construisent une infinité de réseaux qui évoquent aussi bien la cartographie de mondes imaginaires que les méandres d’un système nerveux ou sanguin. Pays inconnus, contrées imaginaires, monde de l’infiniment petit ou immensité d’espaces inconnus, c’est en tous cas un univers empreint de poésie dans lequel elle nous propose de nous infiltrer.

Formée à l’Ecole des Arts décoratifs de Strasbourg, elle expose dans de nombreuses galeries en France et en Europe et a remporté de nombreux Prix : Prix Lacourière et Prix de la gravure contemporaine José Luis Morales (Espagne)
en 2010, Prix Estampa de Lisbonne en 2009, Résidence à la Casa Velasquez à Madrid 2008/10, Bourse de la Casa Velazquez en 2006. Elle a également été sélectionnée en 2012 par la manifestation Horizon-Art Nature (Puy de Sancy) pour son installation Le sous bois .


 

 

15:32 Publié dans 1. à découvrir | Lien permanent

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