du 21 janvier au 13 février

jeudis-vendredis-samedis de 11h à 19h

sauf semaine festival du court
du 1er au 6 février : ouverture tous les jours de 11h à 19h

 

Didier Dupeux

Il y a une dizaine d’années seulement, Didier Dupeux se met à dessiner  pour accompagner sa fille dans ses débuts à la craie grasse.
De ces simples moments d’échange entre un père et sa fille est né une véritable urgence de peindre qui n’a pas lâché Didier depuis.

Rien ne destinait pourtant cet infirmier en psychiatrie à une carrière artistique. La rencontre avec la folie, cependant, n’a sûrement pas été sans incidence sur son œuvre.
Didier en vient à s’intéresser à des artistes comme Barceló, Rebeyrolle ou Soutine, qui auront une influence certaine sur son travail.

Mais c’est sûrement de manière plus directe la rencontre avec Pierre Della Giustina et Pierre Passani qui va réellement décider de sa carrière de peintre, et de plasticien au sens large.

Pierre Della Giustina

Fasciné lui aussi par l’Art Brut, Pierre suit un parcours plus évident qui le mène  à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris dont il sort diplômé en 1988. Mais cet artiste polyvalent n’est plus à présenter dans nos contrées : du musée Mandet (Riom) à la galerie Arkos, en passant par les galeries 17 et Calao (Vic le Comte) nombreux d’entre vous ont eu l’occasion de rencontrer ses impressionnantes créatures, ces sculptures de bois brut stoppées en plein élan.

Cette fois, ce sont des gravures qui seront donner à découvrir, Pierre Della Giustina et Didier Dupeux ayant accepté de confronter leurs mondes dans le dédale de balthazar. Leurs mondes à part, peuplés de créatures à la frontière entre la vie et la mort, entre rêve et réalité.